23 avril 2010
Al latar, kesako ?
Al latar, c'est du breton (et pour la petite histoire, kesako, ça vient de l'occitan, mais je m'égare...).
Al latar, la brume, si chère aux vertes et humides contrées des celtes. Cette brume derrière laquelle peut se cacher n'importe quel mystère :
île d'Avalon (la parenté avec les Mists of Avalon de Marion Zimmer Bradley n'est pas là par hasard), fées dansant autour de cercles de pierres, cité d'Ys, palais merveilleux, anciens sages psalmodiant d'étranges mélopées...
Un rien d'imagination suffit à les faire naître et exister au-delà des brumes.
C'est à la fois, ce que je peux voir derrière leur rideau, réel ou imaginaire, et ce qui m'y emmène, que je souhaite vous faire partager.